| Jean 14:06 Jésus lui dit [à Thomas] : Je suis le CHEMIN, la VÉRITÉ et la VIE. Nul ne vient au Père que par moi. |
| Jésus dit aussi : |
| Matthieu 12:30 CELUI QUI N’EST PAS AVEC MOI EST CONTRE MOI, et celui qui n’assemble pas avec moi disperse. |
| Luc 11:23 CELUI QUI N’EST PAS AVEC MOI EST CONTRE MOI, et celui qui n’assemble pas avec moi disperse. |
|
| Ellen G. White était soit une véritable MESSAGÈRE DE DIEU, soit une fausse messagère travaillant pour Satan. Il n’y a pas de juste milieu. |
|
| Certains ont hésité à dire que je ne prétendais pas être prophète, et ils ont demandé : « Pourquoi ? » {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 3} |
| Je n’ai jamais rien prétendu, si ce n’est qu’on m’a enseigné que je SUIS LE MESSAGER DU SEIGNEUR ; qu’il m’a appelé dans ma jeunesse à être son messager, à recevoir sa parole et à transmettre un MESSAGE clair et précis au nom du SEIGNEUR JÉSUS. {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 4} |
| Tôt dans ma jeunesse, on m’a demandé à plusieurs reprises : « Êtes-vous un prophète ?» J’ai toujours répondu : « JE SUIS LE MESSAGER DU SEIGNEUR.» Je sais que beaucoup m’ont qualifié de prophète, mais je n’ai jamais revendiqué ce titre. MON SAUVEUR M’A DÉCLARÉ ÊTRE SON MESSAGER. « Votre tâche », m’a-t-il instruit, « est de porter ma parole. Des choses étranges surviendront, et dès votre jeunesse, je vous ai mis à part pour porter le message aux égarés, pour porter la parole aux incroyants et, par la plume et la voix, pour réprimander par la Parole les actions qui ne sont pas justes. Exhortez par la Parole. Je vous rendrai ma Parole accessible. Elle ne sera pas comme un langage étranger. Avec la véritable éloquence de la simplicité, par la voix et la plume, les messages que je transmets seront entendus par quelqu’un qui n’a jamais été à l’école. Mon Esprit et ma puissance seront avec vous. » {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 5} |
| « N’ayez pas peur des hommes, car mon bouclier vous protégera. Ce n’est pas vous qui parlez : c’est le Seigneur qui donne les messages d’avertissement et de réprimande. Ne vous écartez jamais de la vérité, quelles que soient les circonstances. Donnez la lumière que je vous donnerai. » Les messages pour ces derniers jours seront écrits dans des livres et resteront immortalisés, pour témoigner contre ceux qui se sont réjouis de la lumière, mais qui ont été amenés à l’abandonner à cause des influences séductrices du mal. {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 6} |
| Pourquoi n’ai-je pas prétendu être prophète ? Parce qu’à notre époque, beaucoup de ceux qui se prétendent prophètes avec audace sont un opprobre pour la cause du Christ ; et parce que MON ŒUVRE COMPREND BIEN PLUS QUE CE QUE LE MOT « PROPHÈTE » SIGNIFIE. {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 7} |
| Lorsque cette œuvre m’a été confiée, j’ai supplié le Seigneur de la confier à quelqu’un d’autre. L’œuvre était si vaste, si vaste et si profonde que je craignais de ne pas pouvoir l’accomplir. Mais par son Saint-Esprit, le Seigneur m’a permis d’accomplir l’œuvre qu’il m’a confiée. {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 7} 1906, paragraphe 8} |
| Dieu m’a clairement indiqué les différentes manières dont il m’utiliserait pour accomplir une œuvre spéciale. Des visions m’ont été données, avec la promesse suivante : « Si tu transmets fidèlement les messages et persévères jusqu’à la fin, tu mangeras du fruit de l’arbre de vie et boiras de l’eau du fleuve de vie.» {The Review and Herald, 26 Juillet 1906, paragraphe 9} |
|
| Pourquoi n’ai-je pas prétendu être un PROPHÈTE ? Au début de mon œuvre, on m’a demandé à plusieurs reprises : « Êtes-vous un PROPHÈTE ?» J’ai toujours répondu : « JE SUIS LE MESSAGER DU SEIGNEUR.» Je savais que beaucoup m’appelaient PROPHÈTE, mais je n’ai jamais prétendu cela, car MON SAUVEUR M’A DÉCLARÉ SON MESSAGER. « Ton œuvre », m’a-t-il dit, « est de porter ma parole. » Des choses étranges surviendront, et dans votre jeunesse, je vous ai mis à part pour porter mon MESSAGE aux égarés, pour porter la PAROLE devant les incroyants, et, par la plume et la voix, pour réprimander par la PAROLE les actions qui ne sont pas justes. Exhortez par la PAROLE. Je vous révélerai ma PAROLE, comme un langage non étranger. Avec la véritable éloquence de la simplicité, par la voix et la plume, les MESSAGES seront répétés par quelqu’un qui n’a jamais appris à l’école. MON ESPRIT et MA PUISSANCE seront avec vous. N’ayez pas peur des hommes dans votre jeunesse, car mon bouclier vous protégera. Ce n’est pas vous qui parlez ; c’est le Seigneur qui donne les MESSAGES d’avertissement et de réprimande. Ne vous écartez jamais de la VÉRITÉ, quelles que soient les circonstances. Donnez la lumière que je vous donnerai. Les MESSAGES de ces derniers jours seront écrits dans des livres et demeureront immortalisés, immuables, éternels, pour témoigner contre ceux qui se sont réjouis de la lumière donnée, mais qui ont depuis été influencés par des esprits séducteurs. {Manuscrit 63a-1906} |
|
| En revanche : |
| SATAL trompe aujourd’hui beaucoup de gens comme il a tenté de tromper le CHRIST, en prétendant qu’il est envoyé du Ciel et qu’il accomplit une œuvre bonne pour l’humanité. Et les masses sont tellement aveuglées par les sophismes qu’elles ne peuvent discerner son véritable caractère, et elles l’honorent comme un MESSAGER de DIEU, alors qu’il œuvre à leur ruine éternelle. {1877 L’Esprit de Prophétie, Volume 2, 90.2} |
|
| Question : Pourquoi Dieu donnerait-il environ 2 000 visions et rêves prophétiques en 70 ans ? |
| Réponse : Dieu ne perdrait pas son temps avec une personne aussi rebelle. |
| Réalité : Cette personne, Ellen G. White, ÉTAIT une VÉRITABLE MESSAGÈRE DE DIEU et une servante volontaire et active pour lui. |
|
| Ellen G. White, cofondatrice de l’Église adventiste du septième jour, a eu environ 2 000 visions et rêves prophétiques au cours de ses 70 ans de ministère. [Son biographe, Arthur L. White, a estimé ce nombre à plus de 2 000, un chiffre également indiqué par le White Estate.] Sa première vision a eu lieu en Décembre 1844 et sa dernière en Mars 1915. Ces visions ont servi de base à ses témoignages personnels, sermons, articles et nombreux ouvrages. |
| Caractéristiques principales et contexte |
| Impact : Ces expériences n’étaient pas seulement privées ; nombre d’entre elles auraient été observées par d’autres pionniers et le public. |
| Phénomène physique : Au cours des premières décennies de son ministère, ses visions étaient souvent accompagnées de phénomènes physiques spécifiques, tels qu’une perte de force suivie d’une force surhumaine, un manque de respiration pendant la vision et des yeux ouverts et fixes. James S. White, son mari et d’autres témoins oculaires ont fréquemment observé ces événements. |
| Plusieurs médecins ont examiné l’état physique d’Ellen G. White pendant ses visions, et leurs récits indiquent qu’elle était inconsciente et ne respirait pas alors que son pouls restait stable. Ils ont conclu que son état était inexplicable par les principes naturels ou scientifiques de l’époque. Les médecins ont testé son pouls, sa respiration et les mouvements de ses yeux, notant que ses yeux restaient ouverts sans cligner, mais qu’aucun air ne sortait de ses poumons. |
| Examens physiques : Des médecins comme le Dr Lord et le Dr Fleming ont effectué des examens pendant ses visions. |
| Arrêt de la respiration : Plusieurs témoignages confirment qu’Ellen G. White ne respirait pas pendant la période où elle était en vision. Cela a été vérifié par des médecins qui ont ausculté sa poitrine et lui ont tenu un miroir sur la bouche, les miroirs ne montrant aucune condensation. Cette absence de respiration a également été vérifiée en portant une bougie allumée à ses lèvres sans aucune lueur de la flamme. |
| Pouls régulier : Malgré l’absence de souffle, son pouls continuait de battre régulièrement. |
| Absence de réponse aux stimuli : Ses yeux restaient ouverts sans cligner, et elle aurait été insensible aux stimuli externes, y compris à un médecin tenant une bougie allumée près de ses yeux. |
| Force surhumaine : Lors de ses visions, on disait qu’elle faisait preuve d’une force surhumaine, tenant parfois une lourde Bible pendant une période prolongée, le bras tendu. |
| Les récits d’Ellen G. White, fondatrice de l’Église Adventiste du Septième jour, décrivent sa force surhumaine lors de ses visions, notamment en tenant une lourde Bible avec le bras tendu pendant de longues périodes. Ces incidents ont été rapportés par des témoins oculaires comme preuve de ses expériences surnaturelles, bien qu’ils fassent également l’objet de discussions et de débats historiques. |
| L’histoire de la « Grande Bible » : L’un des récits les plus connus, datant de 1845, raconte que, lors d’une vision, White a tenu la Bible familiale de 8,5 kg dans son bras tendu pendant plus d’une demi-heure. À l’époque, elle ne pesait que 36 kg. |
| Témoignages oculaires : Plusieurs témoins oculaires ont rapporté que pendant ces moments, elle tournait les pages de la Bible et citait les versets qu’elle pointait du doigt, sans même regarder le Livre. |
| Autres phénomènes physiques : D’autres témoignages similaires font état d’une absence de respiration pendant les visions, de mouvements gracieux des bras et d’un homme fort incapable de plier son bras lorsqu’il était tendu. |
| Conclusions des médecins : Les médecins ont conclu que son état était un phénomène surnaturel inexplicable par des moyens naturels ou scientifiques. L’un d’eux aurait déclaré : « Dieu seul le sait ; laissez-moi sortir de cette maison » après l’examen. |
| Témoignages de professionnels de la santé |
| M. G. Kellogg, Docteur en Médecine (1890) : Il a déclaré avoir assisté à plusieurs visions et être certain qu’elle ne respirait pas. Il a décrit sa première respiration à la sortie d’une vision comme « profonde, longue et ample ». |
| F. C. Castle (sans date) : Il a relaté un examen au cours duquel un médecin a testé sa respiration et son pouls, et a observé son état d’insensibilité aux stimuli comme une bougie allumée. Castle a écrit que le médecin « était convaincu que cela ne pouvait s’expliquer ni par des principes naturels ni par des principes scientifiques ». |
| Dr Lord (1857) : Après avoir examiné Ellen G. White lors d’une vision à Hillsdale, dans le Michigan, il aurait déclaré : « Son cœur bat, mais il n’y a pas de souffle. Il y a de la vie, mais aucune action des poumons ; je ne peux expliquer cet état. » |
| Un médecin « médium » (sans date) : Un professionnel de la santé qui prétendait pouvoir la « sortir » d’une vision serait devenu « d’une pâleur mortelle » et aurait déclaré plus tard : « Son cœur et son pouls sont normaux, mais il n’y a pas de souffle dans son corps », avant de partir rapidement. |
| Visions et rêves : On distingue souvent les « visions publiques », qui se traduisaient par des phénomènes physiques et se produisaient alors qu’elle était éveillée, et les « visions nocturnes » ou rêves qu’elle a vécus plus tard dans sa vie. |
| Importance : Les adventistes considèrent ces visions comme un exemple de « l’esprit de prophétie », tel que décrit dans Apocalypse 12:17 et Apocalypse 19:10. |
| Objectif : Le contenu de ses visions lui a fourni des orientations et des conseils sur un large éventail de sujets, notamment : |
| > Théologie |
| > Prophétie et événements de la fin des temps |
| > Organisation et ministère de l’Église |
| > Santé et alimentation |
| > Conseils aux personnes et aux dirigeants |
| Visions marquantes |
| La vision de la tragédie des siècles : Vision importante reçue en 1858 qui a donné un aperçu du conflit cosmique entre le Christ et Satan. Elle a jeté les bases de son livre La Grande Controverse. |
| Les visions de la réforme sanitaire : Reçues en 1863, ces visions énonçaient les principes d’une vie saine et inspiraient la mise en place d’une œuvre missionnaire médicale au sein de l’Église adventiste du septième jour. |
| La vision de la guerre de Sécession : En janvier 1861, elle eut une vision prédisant la durée et la brutalité de la future guerre de Sécession (12 Avril 1861 – 26 Mai 1865), à une époque où beaucoup pensaient qu’elle serait brève. |
|
| Prédictions qui se sont réalisées |
| La vision de La Grande Controverse : Comme indiqué ci-dessus. |
| Les visions de la réforme sanitaire : Comme indiqué ci-dessus, qui incluent : |
| Le Cancer Causé par les Germes: La chair n’a jamais été le meilleur aliment ; mais son utilisation est maintenant doublement répréhensible, car les maladies animales augmentent si rapidement. Ceux qui consomment de la viande savent peu ce qu’ils mangent. Souvent, s’ils pouvaient voir les animaux de leur vivant et connaître la qualité de la viande qu’ils consomment, ils s’en détourneraient avec dégoût. LES GENS MANGENT CONTINUELLEMENT DE LA CHAIR REMPLIE DE MICROBES TUBERCULEUX ET CANCÉREUX. La tuberculose, le cancer et d’autres maladies mortelles sont ainsi transmis. {1905 The Ministry of Healing 313.2} [Francis Peyton Rous a proposé en 1910 que le cancer soit causé par un virus. Rous, prononcé rows, Francis Peyton, prononcé PAY tuhn (1879-1970), chercheur médical américain, a prouvé que les virus provoquent certains types de cancer. En 1910, Rous a broyé une tumeur cancéreuse d’un poulet et a filtré tout ce qui était plus gros qu’un virus. Le liquide obtenu a produit un cancer lorsqu’il a été injecté à d’autres poulets. Pendant de nombreuses années, les scientifiques se sont moqués de la découverte de Rous. Ces scientifiques pensaient que le cancer ne pouvait pas être causé par un virus car la maladie n’est pas contagieuse. En 1966, Rous a partagé le prix Nobel de physiologie ou médecine pour ses travaux. — « Rous, Francis Peyton », World Book Encyclopedia.] |
| Les tissus du porc grouillent de parasites. Dieu dit du porc : « Vous le considérerez comme impur ; vous ne mangerez pas de sa chair et vous ne toucherez pas à son cadavre. » Deutéronome 14:8. Ce commandement fut donné car la chair du porc est impropre à la consommation. Les porcs sont des charognards, et c’est leur seul usage. Jamais, en aucune circonstance, leur chair ne devait être consommée par les êtres humains. IL EST IMPOSSIBLE QUE LA CHAIR D’UN ÊTRE VIVANT SOIT SAINE LORSQUE LA SOUILLE EST SON ÉLÉMENT NATUREL ET QU’IL SE NOURRIT DE TOUTE CHOSE DÉTESTABLE. {1905 Ministère de la Guérison 313.3} [Voir notes sous MH 313.2] |
| Aussi : |
| Les femmes possèdent moins de force vitale que les hommes et sont privées d’un air vivifiant et revigorant par leur vie à l’intérieur. Les conséquences de ces abus sur elles-mêmes se manifestent par diverses maladies, telles que le rhume, l’hydropisie, les maux de tête, la perte de mémoire et de la vue, une grande faiblesse du dos et des reins, des affections de la colonne vertébrale ; la tête se dégrade souvent intérieurement. L’HUMEUR CANCÉREUSE, QUI RESTERAIT ENDORMIE DANS L’ORGANISME TOUTE LEUR VIE, S’ENFLAMME ET COMMENCE SON ŒUVRE DÉVORANTE ET DESTRUCTRICE. L’ESPRIT EST SOUVENT COMPLÈTEMENT RUINÉ ET LA FOLIE S’INSTALLE. {1864 Appel aux mères 27.1} |
| Pour préserver la santé, la tempérance en toutes choses est nécessaire. Tempérance dans le travail, tempérance dans le manger et le boire. L’intempérance a causé de grandes souffrances à l’humanité. LA CONSOMMATION DE PORC A ENGENDRÉ LA SCROFULE, LA LÈPRE ET DES HUMEURS CANCÉREUSES. ELLE CAUSE ENCORE AUJOURD’HUI LES PLUS GRANDES SOUFFRANCES À L’HUMANITÉ. Les appétits dépravés recherchent les aliments les plus nocifs pour la santé. La malédiction qui s’est abattue sur la terre et qui a touché toute l’humanité a également touché les animaux. Les bêtes ont diminué de taille et leur longévité a diminué. Les mauvaises habitudes humaines les ont fait souffrir plus qu’elles ne l’auraient fait autrement. {1864 Spiritual Gifts. Volume 4A 146.2} |
| La vision de la Guerre de Sécession : Comme indiqué ci-dessus. |
| https://www.ellenwhite.info/predictions.htm Cette page web contient des liens vers de nombreuses autres pages. |
| L’espace ouvert d’Orion : https://www.godswordexplained.com/?page_id=2766 Extrait : |
| D’ÉPAIS NUAGES NOIRS SE SONT ÉLEVÉS ET SE SONT HEURTÉS. L’ATMOSPHÈRE S’EST DISSIPÉE, NOUS PERMETTANT ALORS DE LEVER LES YEUX VERS L’ESPACE OUVERT D’ORION, D’OÙ VENAIT LA VOIX DE DIEU. LA VILLE SAINTE DESCENDRA À TRAVERS CET ESPACE OUVERT. J’ai vu que les puissances terrestres sont maintenant ébranlées et que les événements se succèdent. La guerre et les rumeurs de guerre – épée, famine et peste – vont d’abord ébranler les puissances terrestres, puis la VOIX DE DIEU ébranlera le soleil, la lune et les étoiles, et cette terre aussi. J’ai vu que l’ébranlement des puissances en Europe n’est pas (comme certains l’enseignent) l’ébranlement des PUISSANCES CÉLESTES, mais l’ébranlement des nations en colère. {Broadside2, 31 Janvier 1849, paragraphe 5} [Vision donnée le 16 Décembre 1848] |
| Notez la date de la vision et la date de publication de l’article. |
| Lisez maintenant l’article suivant qui traite de la PREMIÈRE PHOTOGRAPHIE prise en 1880, 32 ans PLUS TARD. |
| https://cosmicreflections.skythisweek.info/2020/09/30/first-photograph-of-the-orion-nebula/ |
| À cette date [30 Septembre 2020], il y a 140 ans, le médecin américain et éminent astronome amateur Henry Draper (1837-1882) a réalisé la première photographie réussie de la Grande Nébuleuse d’Orion, aujourd’hui communément appelée nébuleuse d’Orion. Il a utilisé un télescope de 28 cm (une lunette Alvan Clark !) et un temps de pose de 50 minutes pour cette photographie en noir et blanc. |
| Ceci PROUVE qu’Ellen G. Harmon (18 ans) a reçu sa VISION DE DIEU. Ellen G. White a ensuite eu de nombreuses autres visions divines. |
|
| La catastrophe du Sanatorium de Battle Creek |
| Ellen G. White a reçu des avertissements concernant la catastrophe du Sanatorium de Battle Creek, qui s’est produite lors d’un incendie dévastateur en Février 1902. Bien qu’elle n’ait pas eu de vision précise de l’incendie avant qu’il ne se produise, elle avait mis en garde contre la direction que prenait l’institution. |
| Les avertissements prophétiques d’Ellen G. White |
| Pendant des années, Ellen G. White avait exprimé ses inquiétudes quant à la transformation des institutions de Battle Creek, dans le Michigan, en un centre massif et centralisé pour l’Église Adventiste du Septième jour. |
| Décentralisation : Elle avait soutenu que Dieu voulait que son œuvre et son peuple soient largement dispersés, et non concentrés en un seul endroit. En 1868, elle a mis en garde contre « la tendance de beaucoup de nos frères et sœurs à vivre à Battle Creek ». |
| Danger spirituel : Elle avait averti à plusieurs reprises les dirigeants de l’Église que l’ampleur des institutions et l’accumulation de richesses à Battle Creek conduisaient à l’orgueil spirituel et à une dépendance aux méthodes profanes. |
| Peur du feu : Le problème du déclin spirituel devint si grave qu’en 1901, Ellen G. White écrivit : « J’ai presque eu peur d’ouvrir la Review, craignant de voir que Dieu avait purifié la maison d’édition par le feu.» La maison d’édition Review and Herald était une autre institution adventiste majeure de Battle Creek, également détruite par un incendie en Décembre 1902. |
| Ellen G. White considérait l’incendie du Sanatorium de Battle Creek de 1902 non pas comme une catastrophe fortuite, mais comme un message divin, conséquence de l’obstination de l’Église et du Dr Kellogg, et de leur incapacité à suivre les avertissements de Dieu. Sa vision était que l’incendie était le résultat d’une désobéissance persistante, car l’institution était devenue trop centralisée à Battle Creek, et l’Église avait été mise en garde contre cela et contre toute construction de l’institution. Elle voyait l’incendie comme un moyen pour Dieu d’imposer un changement, d’inciter les gens à quitter Battle Creek et à se disperser vers de nouvelles régions. |
| Résultat de la désobéissance : Ellen G. White a déclaré que l’incendie était la conséquence du refus des gens d’entendre et d’obéir aux avertissements de Dieu. Elle avait précédemment mis en garde contre tout investissement continu à Battle Creek et encouragé l’investissement de ressources dans de nouveaux domaines. |
| Centralisation : L’incendie était perçu comme une manifestation du mécontentement de Dieu face à la centralisation excessive des institutions et des habitants de Battle Creek. |
| Se concentrer sur les leçons : Au lieu d’essayer d’expliquer l’incendie ou d’en attribuer la responsabilité, elle a exhorté ses disciples à examiner leurs propres actions et à remercier Dieu pour la miséricorde dont il a fait preuve en préservant la vie, un seul décès étant survenu pendant l’incendie. |
| Changement forcé : Ellen G. White a suggéré que l’incendie avait été permis par Dieu pour « concourir au bien » en forçant l’Église à prendre en compte les avertissements qu’elle avait jusque-là ignorés. |
| Une nouvelle direction : La catastrophe a servi de catalyseur pour que l’Église déménage enfin son siège social et sa maison d’édition hors de Battle Creek, une décision qu’Ellen G. White préconisait depuis un certain temps. |
| L’incendie de 1902 |
| La catastrophe : Le 18 Février 1902, un incendie massif s’est déclaré au sous-sol du bâtiment principal du Sanatorium de Battle Creek. Il s’est rapidement propagé et a détruit les principaux bâtiments du Sanatorium. |
| Une providence mystérieuse : Lorsqu’Ellen G. White apprit l’incendie, elle recommanda aux croyants de ne pas chercher d’explication ni de blâme. Elle le qualifia plutôt de « providence mystérieuse » et les exhorta à examiner leur propre conduite et à remercier Dieu que la plupart des patients aient été évacués sains et saufs. |
| Destination divine : Après la catastrophe, elle déclara que Dieu « permet que des calamités frappent son peuple pour le sauver de plus grands dangers ». Elle croyait que l’incendie était une conséquence du déclin spirituel de l’institution et servit de signal d’alarme à l’Église. |
| Dr Kellogg et les conséquences : L’incendie mit également en lumière les tensions croissantes entre Ellen White et le Dr John Harvey Kellogg, Directeur du Sanatorium. |
| Différences de chemins : Après l’incendie, Ellen G. White mit en garde contre une reconstruction à la même échelle à Battle Creek, préconisant des institutions plus petites dans des endroits différents. Kellogg, cependant, poursuivit son projet de reconstruction du Sanatorium, plus grand et mieux qu’auparavant. |
| Abandon de la doctrine : Ce conflit, ainsi que l’orientation de Kellogg vers les enseignements panthéistes, conduisirent à son exclusion de l’Église et creusèrent le fossé entre lui et les dirigeants adventistes. Le Sanatorium reconstruit finit par faire faillite dans les années 1930. |
|
| Vision d’une catastrophe d’imprimerie |
| En Décembre 1902, la vision d’Ellen G. White, prophétesse Adventiste du Septième jour, d’une catastrophe d’imprimerie se réalisa lorsque la maison d’édition Review and Herald de Battle Creek, dans le Michigan, fut détruite par un incendie. |
| Vision d’Ellen White |
| Avant la catastrophe, Ellen G. White avait eu une vision montrant que Dieu était mécontent de la maison d’édition Review and Herald pour plusieurs raisons : |
| Laïcisation : La maison d’édition avait commencé à accepter un grand nombre d’impressions commerciales, notamment des romans et autres « écrits répréhensibles », ce qui rendait secondaire l’impression de littérature confessionnelle. |
| Perte de spiritualité : Ce travail commercial était perçu comme une distraction et une destruction de la spiritualité du bureau et de ses employés. |
| Infractions administratives : Dieu était également mécontent des injustices sur le lieu de travail, de l’égoïsme et des politiques mondaines des dirigeants de l’institution. |
| Avertissements symboliques : Ellen G. White vit une « épée de feu » suspendue au-dessus de Battle Creek et avertit que l’institution était en danger et devait être purgée. |
| L’incendie de la Review and Herald |
| L’incendie se produisit le soir du 30 Décembre 1902 et consuma le grand bâtiment de Battle Creek. Bien que des employés se trouvaient à l’intérieur, aucune vie ne fut perdue. Selon Ellen G. White, il s’agissait d’un acte de miséricorde divine, offrant aux travailleurs une seconde chance de se repentir. |
| Conséquences et signification |
| Pour les Adventistes, l’incendie fut interprété comme un jugement divin en raison des lacunes de l’institution et du rejet des avertissements d’Ellen G. White. La catastrophe a entraîné plusieurs changements au sein de l’Église Adventiste du Septième jour : |
| Décentralisation : Ellen G. White a exhorté les dirigeants de l’Église à ne pas reconstruire la maison d’édition de Battle Creek. L’incendie a été perçu comme une occasion de disperser l’influence et les institutions de l’Église hors du centre de Battle Creek. |
| Nouvelle orientation : La maison d’édition a ensuite été reconstruite dans un nouveau lieu, et l’Église a été réorientée pour fonctionner selon ce qu’elle croyait être les principes de Dieu. |
| Leçons apprises : Les incendies de la Review and Herald et du Sanatorium de Battle Creek plus tôt cette année-là ont servi de signal d’alarme pour que l’Église réoriente ses priorités vers sa mission spirituelle. |
|
| Vision du tremblement de terre Californien |
| Le 18 Avril 1906, un tremblement de terre de magnitude 7,9 a frappé San Francisco, provoquant des destructions massives. |
| Ellen G. White n’avait pas de vision précise d’un tremblement de terre californien au sens moderne du terme, c’est-à-dire d’une prophétie détaillée et précise. Elle a cependant eu de multiples visions et a beaucoup écrit sur les thèmes des catastrophes naturelles, notamment les tremblements de terre, comme avertissements de la fin des temps et des jugements contre les villes mauvaises. Ces écrits ont été largement influencés par son expérience lors du tremblement de terre de San Francisco de 1906. |
| Les visions d’Ellen G. White comprenaient des avertissements que des villes comme Los Angeles seraient détruites par des catastrophes naturelles, telles que des tremblements de terre et des incendies, suite au jugement divin pour leur méchanceté. Elle voyait ces événements comme des signes de la fin des temps et exhortait les gens à quitter les villes pour les zones rurales, mais soulignait également la nécessité d’une réforme spirituelle et d’une évangélisation dans les centres urbains avant que de telles calamités ne se produisent. |
| Visions et avertissements |
| Visions générales de catastrophe |
| Lors de visions dans la nuit du 16 Avril 1906, deux jours seulement avant le grand tremblement de terre de San Francisco, Ellen G. White eut une « représentation extraordinaire » de bâtiments s’effondrant. Elle décrivit avoir vu « des maisons secouées comme un roseau par le vent » et de grands immeubles s’effondrer, tandis que « l’air était empli des cris des blessés et des terrifiés ». |
| Elle interpréta ces catastrophes naturelles, et d’autres, comme des jugements et des avertissements divins, plutôt que comme des prédictions isolées et spécifiques. Elle déclara que des villes « pleines de transgressions et extrêmement pécheresses seront détruites par des tremblements de terre, par le feu et par des inondations ». |
| Dans une lettre écrite en 1901, elle avait décrit une vision de structures coûteuses et « ignifugées » détruites, comparant leur sort à celui de Sodome. |
| En réponse au tremblement de terre de San Francisco de 1906 |
| Après le tremblement de terre de San Francisco de 1906, Ellen G. White a interprété la destruction comme un « échantillon de ce que le monde entier est en train de devenir » à cause de la méchanceté. Elle a déconseillé d’investir dans des immeubles urbains coûteux, évoquant une vision concernant Los Angeles similaire à celle de Chicago. Ellen G. White a précisé qu’elle n’avait pas spécifiquement prédit la catastrophe de San Francisco ni affirmé que Los Angeles serait la prochaine. La succession d’Ellen G. White confirme que les rapports selon lesquels elle aurait identifié des villes spécifiques susceptibles d’être touchées par une catastrophe imminente sont « sans fondement ». |
| Avertissements spécifiques concernant Los Angeles : Après le tremblement de terre de San Francisco de 1906, Ellen G. White a indiqué que Los Angeles risquait également de connaître des catastrophes similaires, à moins d’un réveil spirituel et moral. Elle aurait eu des visions de scènes de destruction à Los Angeles et à Oakland après le tremblement de terre de San Francisco. |
| Les catastrophes naturelles comme des signaux d’alarme : Elle considérait les catastrophes naturelles comme des appels à la repentance et un rappel que l’autorité de Dieu serait manifestée. |
| L’appel à l’action |
| Quitter les villes : Un élément central de son message était un appel à quitter les villes pour les zones rurales. Elle conseillait constamment à ses disciples de quitter les grandes villes « méchantes » afin d’éviter à la fois la corruption morale et les catastrophes à venir. |
| Évangélisation urbaine : Cependant, elle reconnaissait également que tout le monde ne pouvait pas partir immédiatement et soulignait l’importance de travailler au sein des villes pour diffuser l’Évangile et aider les personnes dans le besoin avant que les catastrophes ne surviennent. |
| Préparation spirituelle : Elle mettait l’accent sur la préparation spirituelle des individus et la création d’églises et d’écoles pour les soutenir. |
| Clarification |
| Désinformation : Les disciples d’Ellen G. White ont précisé que, si elle avait mis en garde contre la destruction des villes, elle n’avait pas spécifiquement prédit le tremblement de terre de San Francisco de 1906, ni affirmé que Los Angeles serait la prochaine à tomber, bien que ses écrits suggèrent un avertissement à la ville. |
| Avertissements généraux : Elle a également formulé des avertissements généraux concernant la destruction de bâtiments « magnifiques » dans les villes, sans préciser aucun bâtiment en particulier. |
| Thèmes liés aux visions |
| Les écrits d’Ellen G. White mettent l’accent sur plusieurs thèmes clés concernant les catastrophes naturelles : |
| Le jugement divin : Ellen G. White a averti que les villes où le péché et la transgression étaient monnaie courante étaient vulnérables aux jugements de Dieu, qui se manifesteraient par des tremblements de terre, des inondations et des incendies. Ceux-ci se multiplieraient et seraient des signes de la fin des temps. |
| Elle croyait que ces calamités étaient des avertissements divins invitant les gens à se repentir. |
|
| Prédictions qui ne se sont pas encore réalisées : |
| https://www.ellenwhite.info/futureprophecies.htm Voir ce lien pour en découvrir quelques-unes. Il contient également des liens vers d’autres. |
|
| Y a-t-il des contradictions dans les écrits d’Ellen G. White ? |
| https://www.ellenwhite.info/criticisms-contradictions.htm Cette page dissipe certaines des contradictions présumées. |
|
| Ésaïe 66:05 Écoutez la Parole de l’Éternel, vous qui tremblez à sa parole ! Vos frères qui vous haïssaient et vous rejetaient à cause de mon nom disaient : « Que le Seigneur soit glorifié ! Il apparaîtra à votre joie, et ils seront confus.» |
| Jean 15:19 Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. |
| Jean 15:20 Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ILS VOUS PERSÉCUTERONT AUSSI ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. |
|
| Messages individuels adressés à des personnes, mais contestés et attaqués par certains : |
| Comme on m’interroge fréquemment sur mon état en vision, et après ma sortie, je dirais que lorsque le Seigneur juge bon de me donner une vision, je suis emmené en PRÉSENCE DE JÉSUS ET DES ANGES, et je suis complètement perdu pour les choses terrestres. Je ne vois pas plus loin que ce que l’ANGE me montre. Mon attention est souvent attirée par des scènes qui se déroulent sur terre. {1860 2SG 292.1} |
| Parfois, je suis transporté très loin dans le futur et on me montre ce qui va se passer. D’autres fois, on me montre les choses telles qu’elles se sont produites dans le passé. Après ma vision, je ne me souviens pas immédiatement de tout ce que j’ai vu, et la situation ne m’apparaît aussi claire qu’au moment où j’écris. Alors, la scène se présente à moi telle qu’elle m’était présentée en vision, et je peux écrire librement. Parfois, les choses que j’ai vues me sont cachées après ma vision, et je ne peux les rappeler que lorsque je suis amené devant un groupe auquel cette vision s’applique. Alors, elles me reviennent à l’esprit avec force. Je dépends tout autant de l’Esprit du Seigneur pour raconter ou écrire une vision que pour la recevoir. Il m’est impossible d’évoquer les choses qui m’ont été montrées, à moins que le Seigneur ne me les présente au moment où il lui plaît de me les raconter ou de les écrire. {1860 2SG 292.2} |
| J’ai toujours été très perplexe quant à la conduite à tenir avec les MESSAGES qui m’ont été adressés individuellement. J’ai souvent écrit des MESSAGES de réprimande pour différentes personnes, et je les leur ai donnés. Elles les ont ensuite abandonnés et n’en ont rien dit. Leur comportement a montré à maintes reprises qu’elles n’étaient pas affectées par les MESSAGES, et elles ont continué à exercer une mauvaise influence dans l’Église, ignorant les réprimandes. {1860 2SG 293.1} |
| Ma ligne de conduite est désormais claire : ne plus nuire à l’Église. Si des réprimandes sont adressées, je n’ose pas les confier uniquement à des personnes qui les enterreront, mais je lirai ce que le Seigneur a jugé bon de me donner, à ceux qui ont de l’expérience dans l’Église, et si le cas l’exige, je le présenterai à toute l’Église. La grande délicatesse dont certains ont fait preuve, de peur que d’autres n’apprennent qu’ils ont été réprimandés, provient d’un manque d’humilité et d’une réticence à reconnaître leurs torts. Nombreux sont ceux qui ont été trompés par des individus réprimandés par vision, et leurs esprits ont été influencés par des préjugés, car ils n’avaient aucune connaissance de ce que le Seigneur avait révélé. Je ne garderai plus ces choses secrètes. Le PEUPLE DE DIEU doit savoir ce que le Seigneur a bien voulu révéler, afin de ne pas être trompé ni égaré par un mauvais esprit. {1860 2SG 293.2} |
| En rendant le témoignage que le Seigneur m’a donné ces quinze dernières années, j’ai rencontré l’opposition de nombreux ennemis, en particulier ceux dont les erreurs et les péchés m’ont été révélés et dénoncés par moi. Certains d’entre eux ont assouvi leur soif de vengeance, comme on pouvait s’y attendre, en attaquant l’humble instrument et en diffusant des rapports défavorables à mon encontre. {1860 2SG 294.1} |